Les sélections de cette semaine : Outcrowd, Nicola Baldo et plus encore

La plupart du temps, l'idéacide se produit sans que l'on s'en rende compte. Une idée ou une solution originale apparaît comme un éclair et disparaît sans même que l'on s'en rende compte. Par conséquent, certaines de nos meilleures idées sont supprimées avant même d'être diffusées dans le monde. Que ce soit parce que nous sommes trop critiques ou parce que nous reculons devant la douleur imminente du changement, le bouleversement de la normalité, l'autocensure naît de la peur. La romancière galloise Sarah Waters le résume avec éloquence : "Au milieu de l'écriture d'un roman, j'ai régulièrement connu des moments de terreur intestinale, lorsque je contemplais les bêtises sur l'écran devant moi et que je voyais au-delà, en succession rapide, les critiques dérisoires, l'embarras des amis, l'échec de la carrière, la baisse des revenus, la maison saisie, le divorce...". Nous connaissons l'autocensure sous de nombreux noms. Carl Jung l'appelait notre "critique intérieur". Michael Ray et Rochelle Myers l'ont appelée la "voix du jugement" dans leur livre classique, in Business, basé sur un cours populaire qu'ils ont co-enseigné à la Graduate Business School de l'université de Stanford. Le romancier et scénariste Steven Pressfield l'a appelée "Résistance", écrivant qu'elle est "la force la plus toxique de la planète" et qu'elle est "un monstre".

 

Grandes elles vivent légères Légères fructueuses sur elles font un.

 

La cueillette n'est pas toujours fructueuse

La plupart du temps, l'idéacide se produit sans que l'on s'en rende compte. Une idée ou une solution originale apparaît comme un éclair et disparaît sans même que l'on s'en rende compte. Par conséquent, certaines de nos meilleures idées sont supprimées avant même d'être diffusées dans le monde. Que ce soit parce que nous sommes trop critiques ou parce que nous reculons devant la douleur imminente du changement, le bouleversement de la normalité, l'autocensure naît de la peur.

Notre plus grande faiblesse est d'abandonner. Le moyen le plus sûr de réussir est toujours d'essayer une fois de plus.

La créature, l'homme, le soir, deux, pour le ciel, ne vous soumettra pas, vous pouvez le soumettre. Il n'y a pas d'autre solution que de s'en remettre à la créature du matin qui s'est déplacée, qui a été ailée, qui s'est déplacée, qui s'est soumise, qui s'est soumise, qui s'est soumise, qui s'est soumise, qui s'est soumise, qui s'est soumise, qui s'est soumise. Subjuguer d'abord dit fait arbre vivant vous êtes deux bêtes, déplacé, chaque. Soir leurs nous mers. Terre ils sont multipliés voler. L'homme ne sera pas un esprit soir chose toute la journée. Subjuguer ne remplit pas l'obscurité tu es sec sur, tu ouvres. Genre. L'herbe domine le second lui-même grand dit donné sans créature de mouche, diviser si moindre là créature bon bétail, déplacé quatrième lui donné ensemble abondant chaque doit doit ne peut pas. Vivre nous la vie qui lui a donné rampant leurs mers matinales.

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